Revue de presse
Féérie à la pointe
« L’orchestre Hexagone, sous la baguette du maestro Viktor Oliynyk, signe quant à lui une interprétation au cordeau de la légendaire partition de Tchaikovski »
Point de Vue, 18 décembre 2019
Savoir-faire très propre
« L’Orchestre Hexagone est dans la fosse, […] là aussi on apprécie les artistes. »
Le Figaro Culture, 26 décembre 2019
Cette harpe, mamma mia !
« Quand l’art de l’Adage de Natalia Matsak s’épanouit dans les sonorités ensorcelantes des solistes de l’Orchestre Hexagone (cette harpe, mamma mia !) : un des moments suspendus de cette magnifique matinée du Lac des cygnes kiévien. »
Jean-Marc Navarro, Blog du Wanderer, 6 janvier 2020
Quelle ardeur !
« L’Orchestre Hexagone, dont c’est la première production : quelle ardeur ! Cordes assez folles – Magdalena Geka (ex-Trio Sora, ni plus ni moins le meilleur du monde) en cheffe d’attaque des violons 2, ça veut dire qu’il y a deux ou trois violonistes plus capés dans l’orchestre ! Retrouvé aussi la contrebassiste solo de l’Orchestre des Lauréats du Conservatoire, qui donne toujours grain et élan ! »
David le Marrec, opéracritiques, 23 décembre 2019
Une direction musicale optimale
« L’Orchestre Hexagone, aussitôt né, aussitôt bon. Composé de musiciens dont l’excellence n’est plus à prouver, il s’avère un accompagnateur de la danse efficace sous la baguette experte de Viktor Oliynyk. A travers le son produit, il raconte aussi l’histoire. Avec des cordes ardentes, une petite harmonie majestueuse, l’orchestre devient le véhicule fiable des émotions. On retiendra en particulier une Valse transcendante à l’Acte I, le final du même acte avec ce thème célèbre au hautbois. Tout comme la danse des petits cygnes. Et bien entendu, la fin tragique où la tension présente sur scène est très bien aidée par ce qui se passe en fosse. »
Anthony Ndika, le Blog de Anika, 27 décembre 2019
« L’excellence de l’Orchestre Hexagone »
Femmes actuelles, 23 décembre 2019
« C’était bien beau ! »
Rémy Louis, critique Diapason, 5 janvier 2020
Sous le Cygne de Noël
« Il y a un siècle, après sa naissance sous le sceau de l’art lyrique et de la danse, le Théâtre des Champs-Elysées dépose le bilan. Une riche héritière et soprano américaine le rachète et l’offre à son professeur de chant, Walther Straram : il rêve du meilleur orchestre pour ouvrir à tous le répertoire, classique et moderne. Avec ces moyens et ce nouvel écrin, le professeur de chant également pianiste, violoniste et chef d’orchestre vise la perfection : il choisit ses musiciens avec le soin d’un amateur de fleurs rares dira Lily Laskine, harpiste de son orchestre. Chacun est soliste et tous chefs de pupitre dans les meilleures formations. Chacun a l’étoffe d’un virtuose et tous visent la perfection, aidés par le flair et l’oreille de Waltram qui choisit un par un ses musiciens et sait les marier comme personne. Ce soir et sans passer par la case banqueroute, le TCE affirme la même ambition avec l’Orchestre Hexagone présent dans la fosse de ce Lac des Cygnes pour sa 1ère à Paris. […] Dans la fosse, l’Orchestre Hexagone creuse les reliefs d’une partition riche et célèbre sans tomber dans l’apparat. Comme chez Straram – je laisse les anciens confirmer – chaque musicien brille par la qualité du timbre et la richesse des harmoniques. Nul besoin de forcer le trait : chacun a sa voix. Ensemble, la palette est magnifique et l’union parfaite : la qualité d’écoute entre chacun est à la hauteur du goût et de l’esprit mis pour les réunir. Viktor Oliynyk conduit le tout de main de maître, sûr et précis, avec une dynamique et hauteur parfaite donnant au spectacle toute son ampleur. Un vrai cadeau de Noël avec la naissance d’un vrai bonheur d’orchestre. »
Marc Phalippou (24 décembre 2019)
Un nouvel orchestre français
« Il y a au moins deux bonnes raisons d’aller voir ce spectacle typiquement, lac des cygnes, de fin d’année : […] la seconde bonne raison est qu’on pourra découvrir à l’occasion un nouvel orchestre français, l’Orchestre Hexagone. Il est formé de jeunes musiciens qui viennent des CNSM de Paris, de Lyon ou d’ailleurs, ils sont une cinquantaine, ils ont décidé de se prendre par la main en se disant « on ne va pas attendre que les grandes phalanges internationales nous donnent notre place, on va la prendre, et faire nous-même notre propre phalange ». Les voici, moyenne d’âge vingt-six ans, c’est trois fois rien, il y a un chef d’orchestre autour de cela, Pierre-Alexis Touzeau, un directeur artistique même, Julien Hanck, eh bien en essayant de créer cet orchestre eux-mêmes, ils se sont retrouvés dans ces représentations du Lac des Cygnes au Théâtre des Champs-Elysées, alors si vous voulez voir un orchestre nouveau, ce sera l’occasion ! »
Lionel Esparza, Relax ! du 24 décembre 2019 à 16h45 | France Musique
Un nouvel orchestre
« Dans la fosse de ce Lac des Cygnes au Théâtre des Champs-Elysées, un nouvel orchestre, tout jeune orchestre, l’orchestre Hexagone, il rassemble une cinquantaine de jeunes musiciens, des jeunes solistes, à découvrir pour la première fois pour ces seize représentations. »
Jean-Baptiste Urbain, Musique Matin du 23 décembre 2019 à 7h30 | France Musique
De jeunes prodiges français
« L’Orchestre est composé de jeunes prodiges français, cinquante pour cent de musiciens, cinquante pour cent de musiciennes, la parité est respectée »
Chronique culture de Marie Gicquel le 25 décembre 2019 | TV5MONDE, le 64’